Conter est un Art, raconter en est un autre.
Daniel Oulié fait les deux et il y a bonheur
à s’en laisser conter !
Daniel Oulié a pris les chemins buissonniers pour arriver jusqu’à la scène.
Tour à tour cuisinier, ouvrier forestier, accompagnateur en montagne, pisteur secouriste, apiculteur…
Il a tiré parti de ses expériences riches pour construire son univers, un monde facétieux, drôle.
Tel un véritable lutin des montagnes, il est corps et âme à son histoire et vous emportera dans le tourbillon de ses mots.
il tire son inspiration des contes traditionnels des Pyrénées auxquels il rajoute son interprétation personnelle et ses improvisations. Il saura vous dire avec autant de poésie que de truculence, combien la vie peut être belle et drôle quand elle est habillée de joie.
Aucun de nos travers ne lui échappe et le décor bucolique dont il les entoure ne fait que rajouter au comique des situations.
Friand de rencontres avec le public, Daniel fait de ses tournées un moment intense de partage pour une soirée de bonheur.
Préparez vous à pleurer… de rire ou d’émotion.
Répertoire
La base de son répertoire trouve ses racines dans les contes traditionnels de ses Pyrénées Ariégeoises où il vit depuis plus de 27 ans.
Cependant celui-ci continu de s’étoffer, de s’enrichir au fil des années, au gré des rencontres, des voyages et de son inspiration personnelle.
Le plaisir est dans le partage avec le public de toutes ces histoires, de ces petits instants précieux sources d’émotions et d’émerveillements.
L’OC en ses termes
Sans basculer dans le folklore et à défaut de pouvoir le parler couramment,
il est intéressant de préserver les termes essentiels de l’occitan.
Les Contes traditionnels sont ponctués de nombreux mots emblématiques de la langue d’Oc.
Des mots hauts en couleur, très imagés et riches de leur histoire.
Quelques exemples :
(d’après le dictionnaire Vavasouri aux éditions Loubatières) :
Atal = « c’est comme ça »
Un aousel = « un oiseau »
j’en ai mon sadoul = « j’en ai de trop »
Boulègue = « remuer, secouer »
Chincher = « frotter de l’ail »
Cocut = « coucou »
La cagne = « la flemme »
Cagagne = « diarrhée »